AccueilLook at me I'm afraid Ft. Tian
Look at me I'm afraid Ft. Tian Jeu 27 Mai - 15:16
Nino Sang
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@Tian Grimaldi
Il pouvait douter, tu le connaissais, mais tu n'avais pas sourcillé un seul instant en annonçant qu'il était ta meilleure option. Plus que ça tu appréciais sa présence et il faisait parti de cette famille que tu n'avais plus réellement. ce que tu appréciais moins c'était cette tension dans ses muscles, cet air perdu qui ne te disait rien qui vaille. C'était l'inquiétude dans tes yeux qui se reflétait et tu osais même prendre sa main cherchant à le rassurer. Déformation professionnelle télé à une réelle envie d'aider celui qui avait une place importante pour toi tu cherchais à ce qu'il parle sans crainte. La fatigue étant une excuse que trop employaient, à la fois vraie et drolement fausse. Tu doutais. Ne voulant pas l'accuser de te mentir, de sous estimer une fatigue sûrement présente, tu ne voulais pas éloigner ton instinct qui te criait que quelque chose clochait. " Hm.. D'accord. " Il était presque convaincant si son regard ne faisait pas des aller-retour que tu pouvais clairement identifier comme de la peur. " Tu as? " L'incitas tu à parler. S'effrayer seul, oui, pourquoi pas, mais cela ne mettait pas dans cet état. Là où tu tiquais, tes sourcils se fronçant alors c'-était cette illusion à une ombre. La sienne? " Ton ombre ? Tu penses avoir été suivi ? Je peux comprendre qu'on se fasse une frayeur mais on en rigole vite .. " Tu n'étais pas sûr de le voir rire de sa situation. Et tout cela te rendait anxieux, bien que ton sourire venait doucement étirer tes lèvres. " Je fais quand même attention. " Mais le café, c'était important, la boisson te boostant, celle que tu pouvais qualifier d'habitude. "Oui mais n'hésites pas aussi à nous dire si quelque chose ne va pas. Vaut mieux pour rien que trop tard. " Tu end avais quelque chose. Tu aurais dû venir la chercher et l'entendre te dire que tu la couvais trop, que tu étais trop inquiet, tu aurais du la raccompagner toi même, que de la perdre ce soir là. Tes yeux ne voulaient donc pas le perdre de vue, préférant perdre du temps sur des broutilles que de le perdre tout court. " C'est surtout bien pour les gens oui.. " Ne pas avoir de personne en deuil ou blessés de quelque manière que se soit. Alors les petits cas étaient un soulagement, mais rarement trop long. " Hm t'en fais pas je me reposerai ce soir. " Il sera temps de voir, de se reposer, après, plus tard. Tu remettais toujours cet aspect là de ta vie à plus tard pensant surement pouvoir échapper à tes songes en te surmenant. " hm.. " Chacune de ses paroles et actions te mettait le doute, mais qui étais tu pour le remettre en question quand il te disait " non"? Peut être était ce une qualité ou un défaut, un petit mélange, une raison de vivre, mais ta profession fondait dans ta personnalité comme tu ne quittais presque plus l'uniforme. Ici même tu ne savais pas si Tian s'adressait au policier ou à l'ami qui venait l'interroger de par ton inquiétude. Surement un mélange, qui ne faisait qu'augmenter avec cette angoisse. Que pouvait il lui être arrivé. Etait ce grave? Important? Inquiétant ? Préoccupant ? Juste oublier. Une phrase, une sentence que tu entendais bien trop signant souvent la fin d'une guerre par une déclaration d'abandon. Jamais tu ne l'avais entendu alors que rien ne se passait. Alors qu'on se faisait peur avec son ombre. " Ton pensais qu'on te suivait mais tu t'es retourné et tu as vu ton ombre ? " Tu supposais que l'ombre qui l'avait tant effrayé qui était la sienne, était inquiétante car impossible à semer. Mais que faire si l'ombre n'était pas la sienne? Rien que l'idée te laissait les poings fermés, les sourcils froncés. Ce documentaire, il n'était pas la vraie raison tu le sentais, mais sa demande tu l'écoutas. Ton but n'étant pas de lui faire revivre cette sensation désagréable de peur en boucle. " Oui pardon.. sache que je suis là. C'est tout. " Un petit sourire pour le rassurer et tu prenais une gorgée de ta boisson le regard se perdant dans un vide bien trop loin. TU ne voulais plus perdre de personnes proches de toi. Tu ne voulais plus être négligeant. Faisant mine de croire à tout ce qu'il disait tu acceptait l'ombre. "On a qu'à manger ce que j'ai ramené t'en dis quoi ? " Un sourire aux lèvres tu voulais tout de même lui faire oublier. Ton métier était d'interroger, de chercher là où ça faisait mal, de comprendre. En tant qu'ami tu pouvais oublier, distraite et soutenir. "Hm je pense à me prendre un animal mais je ne suis pas sûr, je suis beaucoup de sorti avec le boulot.. mais je me sens seul chez moi... " Avouais tu. Tu te mettais à nu sur cette partie habituellement invisible afin de le faire penser à autre chose, de se tourner vers tes faiblesses à toi, oublier ses peurs.
" "
Re: Look at me I'm afraid Ft. Tian Dim 25 Juil - 14:53
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@Nino Sang
Tu t'en voulais de mentir, de ne pas dire tout ce que t'avais sur le cœur. Surtout à Nino, ce frère de cœur. Tu savais qu'il saurait t'écouter, te comprendre. Tu savais qu'il tenterait de te rassurer, de connaître la vérité. Ca te gênait autant que ça t'effrayait. Et s'il cherchait mais ne trouvait rien ? Si tu te faisais que des idées, encore ? Les mêmes pensées revenaient, les mêmes questions. Tu t'en voulais de ne pas jouer cartes sur table mais tu t'en voudrais aussi de dire la vérité, de détailler ce qui te dérangeait vraiment. T'étaler tes peurs et te rendre ainsi vulnérable. Tu savais que ce n'était pas Nino qui en profiterait, que ce n'était pas lui qui userait de ta faiblesse. Tu savais qu'il prendrait soin de toi, qu'il t'aiderait. Mais t'arrivais pas. T'arrivais pas à laisser les mots sortir. Rien que d'y songer, ça te donnait le tournis, ça accélérait ton rythme cardiaque. Rien que de ressentir la peur, ça te faisait paniquer encore plus. Mais le pire dans tout ça était sans doute ton incapacité flagrante à mentir. Tu devrais peut-être te mettre à l'entraînement. Non ? Tu t'humectas nerveusement les lèvres – tu ne savais pas sous le regard de qui tu te sentais le plus coupable : le policier, ou ton ami. « Mon... ombre », tu le regardas un instant, déglutissant quelque peu pour finalement décaler les prunelles. « C'était que mon ombre » articulas-tu rapidement. Tu hochas simplement le visage ensuite, lui lançant un petit air soucieux, ne rajoutant rien d'autre. « Oui c'est sûr... », chuchotas-tu. « J'hésiterai pas... si jamais... », tu haussas les épaules comme s'il ne se passait rien dans ta vie, tentant un petit sourire qui se voulait rassurant. « D'accord », tu l'observas un instant, silencieux, le visage faiblement penché, souriant à nouveau. Plus doucement, cette fois. Plus sincèrement. Tu espérais qu'il se repose suffisamment, et tu le laisserais dormir là s'il était trop fatigué pour rentrer chez lui. Tu pourrais lui proposer aussi, de rester dormir là ce soir, mais tu savais que c'était égoïste. Que ce serait juste pour te sentir plus en sécurité. « J'ai euh oui », dit comme ça, ça te faisait paraître totalement idiot... ce qui n'était pas totalement faux. Peut-être. Tu savais plus vraiment. Ca te donnait vraiment l'impression de perdre la tête. Mais c'était vrai, à chaque fois que tu te retrouvais, tu ne voyais rien. Ton ombre était la seule chose qui te suivait. Le reste ? Dans ta tête. Tu secouas quelque peu le visage, te mordant la lèvre, désolé, coupable, vulnérable. « Merci », lui soufflas-tu lentement, reconnaissant. « Moi aussi », parce que la réciproque était tout aussi vraie. Tu penchas un peu le visage sur le côté, étudiant la question, avant de hocher la tête. « Faisons ça », une esquisse un peu plus large vint décorer ta bouche, soulagé que les questions s'arrêtent. Soulagé que tu n'aies plus besoin de chercher, expliquer, justifier – mentir. Tu allas récupérer ce qu'il avait cherché, disposant le tout sur des assiettes sur la table basse devant vous. Tu lui lanças un regard, reprenant ta place. « Il te faudrait un animal assez indépendant alors. Comme un chat », tu désignas Tetris dans un petit sourire. « Les chats se débrouillent seuls quand on est pas là et quand on est là, on peut apprécier leur compagnie... s'ils ont envie », tu ris à peine, caressant tendrement Tetris. « Ou alors un rongeur ? », proposas-tu naïvement, le visage sur le côté. « Tu peux venir ici si tu veux. Quand tu te sens seul. Ou pas d'ailleurs. N'importe quand. La porte est toujours ouverte pour toi », tu lui souris doucement, le regard brillant d'inquiétude. T'aimerais pouvoir faire plus. « On peut s'organiser des sorties aussi, si tu veux », tu jouas nerveusement avec tes doigts. Tu te sentais vraiment inutile... « Tu travailles pas trop au moins hein ? », pour combler la solitude, pour oublier que personne ne l'attendait chez lui. « Tu as rencontré quelqu'un ? », pas forcément pour créer une histoire mais des ami.e.s, des gens. T'espérais qu'il ait un cercle un peu plus grand que juste son boulot. Que juste toi. T'étais pas suffisant.
Re: Look at me I'm afraid Ft. Tian Sam 18 Sep - 23:56
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@Tian Grimaldi
Quelque chose se tramait. Et si ton instinct de flic était en train de vouloir l'interroger toute la nuit, l'ami en toi se stoppait. Il voyait très bien la peur dans ses yeux mais aussi cette incapacité d'en parler. Tu l'avais déjà vu, cette hésitation, dans les yeux des victimes. Dénoncer ou laisser sous silence. Faire éclater la vérité ou tenter de vivre une vie normale. Les interrogations étaient normales, presque saines pour des gens qui voulaient tout simplement vivre. Mais l'hésitation n'était pas la bonne. Peu importe ce qui arrivait, la victime avait toujours raison. Tu croyais fortement que ton ami avait quelque chose qui l'effrayait, qu'il ne se sentait pas en sécurité, et tu voulais savoir pourquoi. Mais savoir que son ombre l'avait effrayé ne te rassurait qu'à moitié. Une ombre, peut être autre chose. Toutefois tu n'insistais pas. Lui rappelant simplement que tu étais là, que tu savais écouter, être présent, et qu'il ne devait jamais douter quant à t'appeler. " et puis c'est un peu du repos d'être avec toi comme ça. " Dis tu en tapotant son genou. N'était ce pas là la définition de passer du bon temps? Ne pas être seul devant un miroir que tu ne. supportais plus, devant l'absence dans ton lit, le portable ne s'allumant jamais, les messages vides, sa voix disparue. N'était ce pas ce genre de moment qui te sortait de ce cauchemar devenu réel il y a de ça fort longtemps ? "Je dois t'embêter avec ça.. mais je n'ai pas envie que tu souffres seul dans ton coin quand quelque chose arrive. Et je ne veux perdre personne d'autre. "Dans un extrême puissant et clairement pas rassurant qui pourtant te prenait aux tripes, faisait de toi un homme tendu, les mains liées dans une angoisse permanente. Ta main dans l'autre, le poing fermé tu cherchais à apaiser cette peur qui ne faisait que monter, et sa simple phrase répliquant qu'il était là pour toi te suffisait. " Merci. " Un sourire venant écarter ces lippes si rigides depuis son départ. Toi aussi tu cachais toutes tes peines et tes doutes comme si tu étais le seul à pouvoir les gérer. Le soulagement sur son visage n'avait pas de prix, même celui d'un flic frustré et d'un ami inquiet. Tu aimais tout de même son sourire plus détendu et cette possibilité de manger tranquillement ce que tu avais ramené comme si de rien n'était. LE monde n'était pas cruel, vous n'étiez pas traumatisé, vous étiez juste deux amis parlant tranquillement. "Oui.. mais il faut quand même une présence non? Est ce qu'il ne serait pas trop seul ? " TU revenais quand même chez toi Nino n'abusons pas. Mais tu étais ce genre de personne à courir à droite et à gauche cumulant des heures supplémentaires jamais payées juste pour ne pas avoir à rentrer. Merci beaucoup.. mais je ne vais pas toujours te déranger quand même tu as ta vie. " " Un léger rire t'échappant, te rendant compte que chacun avait ses habitudes, ses personnes à voir. Et pourtant une chaleur venait doucement brûler ta poitrine, une reconnaissance silencieuse dans le regard. "Tu me connais tu sais que je suis nul pour ça; Mais la prochaine fois allons manger dehors hm ? " Cela vous donnerait l'occasion de sortir, de vous voir et peut être de voir ce qui terrifiait ton ami. Prenant une première cuillère d'un gâteau tu tentais de savoir comment répondre. Mentir n'était pas ce que ut préférais, mais l'inquiéter n'était pas une bonne chose. "Un policier travaille toujours beaucoup. "Ajoutais tu en riant doucement l'incitant à manger délicatement. C'est à sa question que tu t'étouffas légèrement; Rencontrer quelqu'un ? " Hein? Quelqu'un ? Non. " Tu pensais à cette jeune médecin. Tu pensais à elle car elle était la seule que tu avais rencontré dernièrement. En tout bien tout honneur. Mais .. comment Tian le savait il ? " Pourquoi cette question? " Ton regard se plongeant dans le sien tu tentais de chercher une réponse. Pourtant elle restait très simple : juste voir du monde, être social et non reculé dans ton coin, solitaire et perdu. " Et toi tu as rencontré quelqu'un ? " A lui de te dire si son cercle était assez grand, si son coeur était prit, et c'était bien plus marrant d'être de l'autre côté de la barrière.
" "
Re: Look at me I'm afraid Ft. Tian Dim 24 Oct - 11:24
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@Nino Sang
Peut-être que quand tu auras tout tiré au clair, tu t'excuseras. Tu demanderas pardon d'avoir été aussi stupide et de n'avoir rien dit. De ne pas avoir eu confiance en ces personnes que tu adorais tant, pourtant. Tu demanderas pardon de t'être laissé submergé par la peur : la peur de cette ombre, de tes cauchemars mais aussi la peur d'être jugé, de décevoir. De les voir s'éloigner sous prétexte que tu perdais la raison. Tu ne savais pas ce qui se tramait pour le moment. Tu ne voulais pas alarmer tes proches. Tu préférais être le seul à rester sur le qui-vive. Le seul à guetter la foule derrière ton épaule ou observer les recoins d'une allée sombre pour t'assurer que personne ne te suivait. Tu vivais avec, désormais. Cela ne rendait pas les choses plus simples mais... c'était ainsi. Et ce n'était pas un « peut-être », finalement. Quand tu te sentiras mieux, tu t'expliqueras – et tu demanderas pardon. « C'est gentil », susurras-tu, touché, l'esquisse fine, comme un gamin qu'on venait de complimenter. Tu te dodelinas un peu de la tête, contenté, le cœur apaisé par les mots, sa présence. Ton esquisse s'effaça quelque peu, tes iris se tournant vers les siennes alors que tu déglutissais discrètement. Tu secouas le visage, les lèvres pincées, un nœud dans la gorge. « T'en fais pas », parvins-tu à articuler. « Ca va », lui assuras-tu – tu tentas du moins. « Tu ne me perdras pas », mais tu ne pouvais pas promettre. Après tout tu savais pas ce que la vie te réservait. Tu savais pas ce qui allait se passer demain. Tu savais rien.. pas même la véritable forme de cette ombre. « Je reste là », affirmas-tu, le regard plongé dans le sien. Pas pour prouver que tu disais vrai – mais pour montrer que c'était vraiment ce que tu voulais. Tu penchas un peu le visage, le sourire fin. « Oui bien sûr mais un chat... », commenças-tu, levant le regard comme pour chercher tes mots. « Disons que le chat s'en sort mieux sans toi. Mieux que tu peux le penser. Il a besoin de compagnie, évidemment. Mais il s'en sort bien seul », tu souris, présentant ton chat de tes mains dans une moue fière. Comme si tu présentais ton fils. « Tetris, par exemple. Quand je suis au travail, il s'en sort. Il n'est pas triste, il fait sa vie... Il dort, principalement », tu ris doucement, le nez froncé. Un chat ne faisait pas grand chose de sa journée. A part dormir. « Et quand tu rentres le soir il est content de te revoir, il viendra réclamer des câlins ou dormir avec toi », tu te pinças un peu les lèvres, les doigts glissant sur le pelage de Tetris. « Il ne faut pas qu'il soit seul toute la journée non plus. Comme j'ai dit, eux aussi veulent de la compagnie », tu tournas ton regard vers lui, l'esquisse douce. Comme les humains, les animaux avaient besoin de quelqu'un à leur côté. Tu clignas des paupières avant de hocher vivement le visage. « Tu ne me déranges pas du tout. Au contraire, je suis content de t'avoir ici », déclaras-tu, sincère. T'avais pas de raisons de mentir là-dessus même si tu comprenais ce qu'il voulait dire. Chacun avait sa vie, et lui aussi. Tu ne pouvais pas non plus te permettre de t'y immiscer quand ça te chantait. Tu haussas les épaules, amusé. « On peut être nuls à deux », déclaras-tu dans un son amusé. « Allons... allons manger dehors la prochaine fois », une petite hésitation dans la voix, tu lui offris un sourire, décalant les prunelles. « Un policier doit se reposer aussi », dis-tu, tournant le visage vers lui, boudeur. Tu clignas des paupières ensuite, penaud, le fixant, la bouche finement ouverte... avant qu'un sourire ne vienne se poser sur tes lèvres. « Pourquoi pas ? », demandas-tu dans un air innocent, le fixant, le regard malicieux. « Mais tu as rencontré quelqu'un... », poursuivis-tu, taquin, le sourire large. « Ca se devine à ta réaction », admis-tu dans un hochement du visage. « J'aurais pu être policier aussi », ou pas. Tu fis une sorte de V avec tes doigts, que tu plaças sous ton menton, fier... avant de libérer un « Qu-- moi ?? » étranglé. Il y avait bien Ki Hyun mais... Tes pommettes s'empourprèrent sauvagement alors que tes iris fuyaient de l'autre côté, tes doigts attrapant rapidement de quoi manger. Les joues un peu gonflées par la nourriture, tu mâchas lentement, offrant un air désolé à ton ami parce que – diantre, tu ne pouvais pas parler tu avais la bouche pleine voyons ! Tu haussas les épaules, franchement désolé... galérant à mâcher tout ça. Tu émis un léger son, ton index pointant Tetris du doigt. « Un'at », tu levas l'index, lui demandant d'attendre, mastiquant longuement avant de souffler une fois le tout avalé. « Un chat », merci Tian... « Enfin Tetris », et tu attrapas ton chat, le calant contre toi alors qu'il venait frotter sa joue contre la tienne, comme à son habitude. « Tu lui as pas encore fait de câlins et... et ça se fait pas », tentas-tu d'une petite voix, gêné, les joues rougies. Tu mériterais un trophée pour ce détournement de conversation pas du tout réussi, bravo Tian.
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